Jadis prospère, Issoudun a perdu ses mégissiers et ses notables. Malgré les efforts du maire pour décrocher des subventions, les cadres des multinationales rechignent à s’installer dans cette sous-préfecture dépeuplée. Ses habitants paupérisés vivent désormais en périphérie de la ville, au milieu des grandes surfaces. Reportage.
Article publié dans Causeur n°64 (janvier 2019): Issoudun causeur