Inspiré par les réflexions de l’Encyclopédie des nuisances et du collectif grenoblois Pièces et Main d’oeuvre, je me suis attaqué à l’industrialisme vert, ultime ruse du marché pour survivre à ses propres nuisances. Toutes consommation énergétique égale par ailleurs, les « industries vertes » (éoliennes, panneaux photovoltaïques) ne sont qu’un pis-aller écologique qui nous mène dans le mur. Décroissance ou barbarie, tel est notre destin.
Un articulet publié dans Eléments n°144 (été 2012) sous le pseudonyme de Jean de Lavaur : ecologisme-marche-eoliennes
Et l’avenir ne m’a pas démenti puisque ces dernières années, nos gouvernants ont définitivement choisi la voie de l' »administration du désastre » (René Riesel et Jaime Semprun) en promouvant le développement durable, la Cop 21 et autres calembredaines rassurantes.