La première fois que je croisai Ernst Jünger (1895-1998), ce fut au détour d’une page jaunie du Questionnaire, l’ouvrage majeur d’Ernst von Salomon. L’auteur y décrivait un officier espiègle, qui pavoisait aux réceptions de l’ambassade soviétique à Berlin en traitant les dignitaires nazis de « vrais visages de sous-hommes ».
Article publié dans Causeur n°10 (février 2014) : JungerHervier