Malgré les crises financières et politiques à répétition, l’Italie ne se porte pas si mal. Là-bas, l’irruption pourtant brutale de la modernité n’a pas détruit les structures traditionnelles.
Qu’il aborde la mort de Pasolini ou les années de plomb du terrorisme, l’écrivain italien Alberto Garlini privilégie la littérature sur le jugement moral.
J’ai eu le plaisir de m’entretenir avec les animateurs de la revue socialiste révolutionnaire Rébellion (n°75, août 2016), où il est notamment question de Guilluy, Marignac, Von Salomon et Garlini.