Malgré les crises financières et politiques à répétition, l’Italie ne se porte pas si mal. Là-bas, l’irruption pourtant brutale de la modernité n’a pas détruit les structures traditionnelles.
Qu’il aborde la mort de Pasolini ou les années de plomb du terrorisme, l’écrivain italien Alberto Garlini privilégie la littérature sur le jugement moral.
Aux côtés d’Elisabeth Lévy, je me suis entretenu avec Maurizio Serra, ambassadeur d’Italie aux Nations-Unies et biographe de Malaparte, Svevo, D’Annunzio.