Selon l’ancien directeur de l’école des Beaux-Arts de Paris, des vociférations de la place de la République aux politiques migratoires angéliques, les grands principes ont remplacé les bonnes politiques.
On croyait nos futures élites partagées entre europtimisme cravaté et altermondialiste à keffieh. Mais un troisième camp, le souverainisme, séduit de plus en plus d’étudiants des deux rives à Normale Sup, Sciences-Po ou l’EHESS.
Pour l’auteur de Fractures françaises, la guerre de tranchées sur la loi Taubira passionne essentiellement les appareils politiques et les bourgeois urbains.