Brimé par l’Italie fasciste, déporté par l’Allemagne nazie, mis au ban du régime de Tito, le grand écrivain slovène Boris Pahor n’a jamais abjuré l’amour qu’il porte à sa petite nation. À 104 ans, il publie un recueil de nouvelles, Place Oberdan à Trieste, qui porte la marque de ses épreuves et de ses amours. Rencontre.
Article publié dans Causeur n°57 (mai 2018) : BorisPahor