Le débat sur les fake news part sur des bases malsaines <!–more–> : la grande majorité de la population est à la fois dépendante des médias et convaincue qu’ils ne répercutent pas ce qu’elle vit au quotidien. Nourris par cette défiance anti-élites, les réseaux sociaux offrent une caisse de résonance virtuelle aux pires balivernes.
Entretien réalisé aux côtés d’Elisabeth Lévy et publié dans Causeur n°54 (mars 2018) : Gauchetfake