Il se voyait en reporter de guerre, il s’est retrouvé chroniqueur villages et corps de fermes à Europe 1. De son exode en rase campagne en mai 1940 à sa visite champêtre de Montcuq pour le « Petit rapporteur » de Jacques Martin, Pierre Bonte raconte sa belle France où les paysans avaient la Gitane maïs plantée au bord des lèvres.
Entretien paru dans Causeur n°55 (mars 2018) : PBonte